Homme Inaccessible (Français) novel Chapter 3771

Chapitre 3771

Après s’être installé à l’Hôtel Buckingham, Benoit attendait que Clément le contacte.

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En venant à la Cité J cette fois-ci, il savait qu’il ne pouvait rivaliser économiquement avec ces riches hommes d’affaires de premier plan. Son seul objectif était donc de rencontrer Clément.

Lorsque Edmond l’a contacté, Benoît a déclaré sans hésitation:

–

– Transmettez à M. Clément que je l’attend respectueusement à tout moment.

Clément, en entendant cela, n’a pas perdu de temps et a demandé à Édmond de l’accompagner à la chambre de Benoit.

Dès leur première rencontre, Clément a déclaré respectueusement:

– M. Benoit, nous nous retrouvons une fois de plus.

Benoit s’est empressé de faire une révérence et a répondu avec respect :

– M. Clément, je vous salue!

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Clément a rapidement tendu la main pour l’aider et a dit :

–

— M. Benoît, vous êtes bien trop poli, comment puis-je accepter un tel honneur de votre part!

Benoît a répondu sérieusement:

– M. Clément, votre puissante est supérieure à la mienne, et vous m’avez également fait une faveur. Il est tout à fait normal que je vous salue. Après ces mots, il a rapidement invité :

—-

– M. Clément, veuillez entrer et discuter !

Clément a hoché la tête, puis s’est tourné vers Édmond en disant :

– Édmond, je vais discuter avec M. Benoît. Vous pouvez rentrer.

Édmond a répondu respectueusement:

– Bien, jeune maître.

Alors que la plupart des gens achetaient des encens déjà préparés, certains préféraient les fabriquer eux-mêmes.

Les matériaux couramment utilisés étaient des chutes de bois de santal ou de bois d’agar, permettant le recyclage des déchets et la réduction des coûts.

Cependant, Benoit utilisait une grande pièce de bois de santal, ce qui a surpris Clément.

Le bois de santal, surtout en grande quantité, restait cher sur le marché. Au poids, il était souvent plus coûteux que l’or.

Un morceau sculpté en une image bouddhiste aurait une valeur de plusieurs centaines de milliers de dollars.

Pendant ce temps, Benoît a allumé l’encens en forme de fleur de lotus avec une allumette et a lancé avec un sourire à Clément :

– M. Clément, vous n’avez pas d’aversion pour l’odeur du bois de santal, n’est-ce pas ?

Clément a esquissé un léger sourire, observant la fumée verte s’élever dans les airs et inhalant l’odeur caractéristique du bois de santal en combustion. Il se sentait particulièrement à l’aise et a répondu :

– M. Benoit, vous avez vraiment du goût. J’ai senti ce type d’encens lorsque j’étais enfant, en vivant avec ma mère. Après toutes ces années, le fait de le respirer à nouveau ravive de nombreux souvenirs.

Benoit a acquiescé et a déclaré sérieusement:

– Votre mère était renommée aux États-Unis. On dit qu’elle a déployé d’énormes efforts pour promouvoir la culture traditionnelle du Pays Cen Amérique. De nombreuses femmes de la haute société américaine étaient fières de pouvoir l’imiter. J’apprécie la culture de l’encens depuis de nombreuses années. Le prix du bois de santal aux États-Unis restait stable pendant des décennies. Ce n’est qu’après que la culture de l’encens a gagné en popularité dans la haute société grâce à votre mère que le prix du bois de santal aux États-Unis a augmenté de plus de cinq fois en un an.