Chapitre 1570
Giichi, qui était si nerveux, s’est empressé de pleurer et de supplier:
-M. Clément, je suis un grand talent dans le domaine biologique, si vous me renvoyez, ce sera une énorme perte pour vous, je vous en prie, gardez-moi, je travaillerai bien pour vous!
Clément lui a dit, le visage vide:
-Désolé, c’est trop tard, et vous devez partir aujourd’hui, sinon on va te licencier directement.
Sur ce, Clément a regardé Edmond:
–
– Mettez-le hors de ma vue.
Edmond a acquiesce et s’est avancé immédiatement. Il a saisit Takamoto Giichi par le col et l’a trainé dehors.
A ce moment-là, les autres personnes présentes dans la salle de conférence ont enfin compris l’urgence de la situation.
Clément avait reçu le transfert des actions de Tetsuo et il était désormais le nouveau propriétaire du Groupe Takamoto, et il pouvait décider ainsi le destin de toutes les personnes présentes dans la salle.
Si quelqu’un l’énervait, il serait vraiment jeté hors du Groupe Takamoto !
Alors la foule s’est immédiatement tenue silencieusement à sa place, n’osant pas bouger, et encore moins parler.
Clement a ensuite ajouté:
– Je vais vous dire la vérité, je n’ai besoin de garder que la partie production du Groupe Takamoto, les autres département, tels que celui de la recherche et le développement, celui de la promotion et celui des ventes, peuvent toutes étre annulés !
La foule a été encore plus effrayée à ces mots
Clément a poursuivi:
Leurs femmes, en revanche, non seulement ne travaillaient pas, mais dépensaient aussi beaucoup d’argent, ce qui ajoutait aux dépenses quotidiennes de la famille.
Certaines études ont montré que les Japonaises avaient également une très forte demande de produits de luxe par habitant, 90% des Japonaises possédaient au moins un sac de marque comme Chanel, LV ou Gucci, sans parler d’autres articles de luxe.
Ces ménages pourraient être au bord de la faillite dès que leurs revenus s’effondreraient.
De nombreuses personnes aisées de la classe moyenne faisaient immédiatement banqueroute après la crise économique, parce qu’elles n’épargnaient jamais d’argent.
C’était également le cas de la majorité des cadres du Groupe Takamoto.
Ainsi, pour eux, être licenciés équivalait presque à déclarer leurs familles en faillite
Clément n’a aucune sympathie pour ces hommes d’âge moyen qui se lamentaient. Le Groupe Takamoto serait désormais à lui et il ne garderait jamais d’employés japonais oisifs ou sans valeur, donc ces hommes devraient être virés
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